Concept des maison bioclimatiques
La conception de notre maison vise à une orientation bio-climatique ou encore passive, concepts assez ancien en fait mais étant de plus en plus à la "mode", le cout de l'énergie prenant une part de plus en plus importante dans le budget de fonctionnement d'une maison.
Le but : Une maison economique construite au maximum avec des matériaux naturels (ça c'est pour la partie BIO ) et qui consomme le moins d'énergie extérieure possible. (partie climatique ou encore ... passive)
Le principe est assez simple :
- Une maison orienté au sud avec de larges baies vitrées pour profiter de la chaleur du soleil (effet de serre) en hiver (soleil bas).
- De grands débords de toit en façade pour se protéger du soleil haut en été.
- Fermée au maximum au nord (partie froide de la maison, non exposée au soleil)
- Les parties Nord contenant au maximum de zones tampons (zones rarement chauffées, garages, celliers, débaras...) pour éloigner au maximum les murs Nord (froids) des parties de vie chauffées.
- le tout avec une isolation relativement importante et de préférence naturelle.
L'hiver le soleil chauffe la maison par les vitres exposées au sud . L'été le soleil ne rentre pas dans la maison. Simple comme bonjour et ça marche. L'hiver de tels maisons consomment très peu de budget chauffage annuel et l'été il y fait plutôt frais.
Ensuite, d'autres "options " peuvent se rajouter à tous ça , comme chez nous, la récupération de l'eau de pluie mais c'est là, autre chose.
Le concept est simple mais pas toujours facile à mettre en oeuvre car il faut tenir compte de facteurs extérieurs importants comme, la configuration du terrain, les vents dominants, le vis à vis ... mais surtout les contraintes administratives, urbanistiques (non des moindres) et certains préjugées difficiles à déplacer chez certains élus. Le surcoût , non négligeable non plus, car Grenelle ou pas ( vaste fumisterie ) des aides financières existent mais il faut tout de même avancer l'argent , donc réservées à ceux qui en ont déjà.
Mais le jeu vaut la chandelle et le "rêve" de passivitée énergétique (quasi autonomie) reste accessible à ceux qui se lancent dans l'autocontruction (même partielle) de leur maison et qui comme nous, se relèvent les manches.
Nous ne prétendons pas construire un maison passive, car seul le résultat final et le bilan énergétique de fonctionnement peuvent déterminer le degrès d'autonomie d'une maison, mais le but est de s'en approcher au maximum et c'est un défi passionnant.
Le but : Une maison economique construite au maximum avec des matériaux naturels (ça c'est pour la partie BIO ) et qui consomme le moins d'énergie extérieure possible. (partie climatique ou encore ... passive)
Le principe est assez simple :
- Une maison orienté au sud avec de larges baies vitrées pour profiter de la chaleur du soleil (effet de serre) en hiver (soleil bas).
- De grands débords de toit en façade pour se protéger du soleil haut en été.
- Fermée au maximum au nord (partie froide de la maison, non exposée au soleil)
- Les parties Nord contenant au maximum de zones tampons (zones rarement chauffées, garages, celliers, débaras...) pour éloigner au maximum les murs Nord (froids) des parties de vie chauffées.
- le tout avec une isolation relativement importante et de préférence naturelle.
L'hiver le soleil chauffe la maison par les vitres exposées au sud . L'été le soleil ne rentre pas dans la maison. Simple comme bonjour et ça marche. L'hiver de tels maisons consomment très peu de budget chauffage annuel et l'été il y fait plutôt frais.
Ensuite, d'autres "options " peuvent se rajouter à tous ça , comme chez nous, la récupération de l'eau de pluie mais c'est là, autre chose.
Le concept est simple mais pas toujours facile à mettre en oeuvre car il faut tenir compte de facteurs extérieurs importants comme, la configuration du terrain, les vents dominants, le vis à vis ... mais surtout les contraintes administratives, urbanistiques (non des moindres) et certains préjugées difficiles à déplacer chez certains élus. Le surcoût , non négligeable non plus, car Grenelle ou pas ( vaste fumisterie ) des aides financières existent mais il faut tout de même avancer l'argent , donc réservées à ceux qui en ont déjà.
Mais le jeu vaut la chandelle et le "rêve" de passivitée énergétique (quasi autonomie) reste accessible à ceux qui se lancent dans l'autocontruction (même partielle) de leur maison et qui comme nous, se relèvent les manches.
Nous ne prétendons pas construire un maison passive, car seul le résultat final et le bilan énergétique de fonctionnement peuvent déterminer le degrès d'autonomie d'une maison, mais le but est de s'en approcher au maximum et c'est un défi passionnant.